CYCLE BARBARA STANWYCK
Cycle : “Les 1001 visages de Barbara Stanwyck”. Rétrospective en 5 films, en partenariat avec l’ADRC et Les Écrans du Sud.
Tous les films seront rediffusés chaque mardi à 14h, entre le 12 décembre et le 9 janvier.
Vendredi 12 décembre, 19h / BOULE DE FEU de Howard Hawks
États-Unis | 1941 | 1h51
Une chanteuse de music-hall, petite amie d’un gangster, est traquée par la police qui cherche à la faire témoigner contre son amant. Pour lui échapper, elle trouve une planque insolite : une maison isolée qui abrite huit savants retirés du monde, devant établir une encyclopédie. Troublés par la beauté et la richesse du vocabulaire de la jeune femme, un des professeurs va alors lui demander de les aider à rédiger un article sur l’argot qu’elle semble maîtriser.
Présentation du cycle avec Lola Tobelem, journaliste, autrice et spécialiste du cinéma en noir et blanc. Pot convivial et quizz.
Vendredi 19 décembre, 19h / ASSURANCE SUR LA MORT de Billy Wilder
États-Unis | 1944 | 1h44
Walter Neff, un employé d’une compagnie d’assurances, tombe amoureux de sa cliente Phyllis Dietrichson qui réussit à le convaincre d’échafauder un plan pour assassiner son mari encombrant et partager avec elle l’assurance vie de celui-ci.
Vendredi 26 décembre, 19h / BABY FACE de Alfred E. Green
États-Unis | 1933 | 1h16
Après avoir été abandonnée par sa mère et vendue à la concupiscence des hommes par son propre père, Liliane « Baby Face » Powers décide de s’envoler pour New-York pour y réussir sa vie. Grâce à ses talents de séductrice, la jeune ambitieuse trouve rapidement un premier emploi dans une banque dont elle finira par gravir les échelons en utilisant sans aucun scrupule les hommes comme marchepieds vers sa réussite.
Vendredi 2 janvier, 19h / STELLA DALLAS de King Vidor
États-Unis | 1937 | 1h46
Stella, jeune femme de milieu modeste, épouse le riche Stephen Dallas et donne naissance à Laurel. Après leur séparation, elle élève seule sa fille et lui consacre sa vie. Mais en grandissant, Laurel aspire au monde privilégié de son père. Comprenant que sa propre condition pourrait entraver l’avenir de l’enfant, Stella accepte douloureusement de s’en éloigner pour lui offrir la vie qu’elle mérite.
Vendredi 9 janvier, 19h / L’HOMME DE LA RUE de Frank Capra
États-Unis | 1941 | 2h02
Pour retrouver son poste, la journaliste Ann Mitchell invente un certain John Doe et publie, sous ce faux nom, une lettre dénonçant l’injustice sociale. Le personnage fictif devient aussitôt un phénomène médiatique, obligeant Ann à engager John Willoughby pour l’incarner. Mais, à mesure que le mythe grandit, l’homme finit par se prendre au jeu et à faire vivre réellement ce John Doe qu’elle avait inventé.